L’article signé Pierre-Matthieu Blondet, publié dans le n° 181 de La Revue française de Généalogie, décrit diverses généalogies d’artistes, souvent bien embrouillées, et que le port de pseudonymes, allant et venant au fil des générations, achève de compliquer.
Il évoque ainsi les Moncorgé/Gabin (étudiés dans le n° 151 du même magazine) et les Legrand/Nohain/Dauphin, que l’on pourra approcher par un arbre en ligne sur GeneaNet (à découvrir en cliquant ici). Mais l'auteur évoque surtout deux familles particulières :
- Les Casadesus, issus de l’Espagnole Francesca Casadesus, née en 1830, qui donnera le jour à Luis, né en 1850 à Paris, lequel deviendra typographe puis comptable. Mais fou de musique, celui-ci s’était promis d’avoir des enfants musiciens. Un rêve qui sera presque dépassé, puisque sont issus de lui de très nombreux musiciens ainsi que plusieurs artistes, largement connus – et qui ont souvent conservé pour pseudonyme le nom de leur ancêtre. On trouvera un bel arbre généalogique de cette dynastie sur un site spécifique : www.casadesus.com (cliquer sur « arbre ») et des informations sur divers arbres de GeneaNet (cliquez ici et ici).
- Les Parfouru/Porel et les Périer, issus de la rencontre de plusieurs lignées :
- d’abord les Parfouru, dont l’ancêtre était né à Saint Lô, dans la Manche (pour en savoir plus, cliquez ici) ;
- ensuite les Réju, famille de la grande actrice Réjanne, famille originaire du Nord (cliquez ici et ici);
- les Duval, venus de Suisse, avec l’épouse de Jacques Parfouru (cliquez ici) et par eux les Plantamour (Lyonnais, Bourguignons…, que l’on trouvera ici) ;
- les Perier, à l’état civil Pillu, originaires de l’Yonne (à découvrir ici) ;
- les Marrier de Lagatinerie, avec Landry, né à Buenos-Aires (voir ici) ;
- et enfin Henri Salvador et sa famille (auquel nous avions consacré une brève le 13 février 2008).
(c) Pascal Victor / ArtCom Art
Les commentaires récents