Association narbonnaise de généalogie
envoyé par Le-Petit-Reporter.
Retrouvez toute l'actualité et les coordonnées des associations, généalogistes professionnels et services dans l'Aude sur le site Internet de La Revue française de Généalogie.
Association narbonnaise de généalogie
envoyé par Le-Petit-Reporter.
Retrouvez toute l'actualité et les coordonnées des associations, généalogistes professionnels et services dans l'Aude sur le site Internet de La Revue française de Généalogie.
Si nos ancêtres mouraient pour la plupart "en leur demeure", ce n’est plus le cas que pour une personne sur quatre. L'an dernier, 27% des décès sont survenus au domicile contre 59,5% à l’hôpital et 12% en maison de retraite, deux fois plus qu’en 1980. Les morts sur la voie publique ou dans la rue n’ont représenté que 1,5% des cas.
La saisonnalité des décès varie en fonction de l'âge : les personnes âgées meurent davantage en hiver, souvent des suites de maladies respiratoires et de chutes, les moins de 35 ans surtout en juillet et en août, principalement de morts violentes et en particulier d'accidents.
De manière générale, le nombre de décès décroît régulièrement de janvier à août, puis remonte à partir de septembre.
La mortalité en France avait atteint un pic en 2003 (voir le graphique) avec les 15.000 morts de la canicule. Ce bilan terrible et la mise en place de mesures de prévention ont l'année suivante fait reculer le nombre de décès à son plus bas niveau depuis 1962. Mais depuis 2006, il est en augmentation régulière et, pire, la mortalité infantile a cessé de régresser.
Alors qu'elle avait été divisée par trois depuis 1980, la mortalité des enfants de moins d'un an a stagné entre 2005 et 2008 à 3,6 décès pour 1.000 naissances vivantes, et en 2009 elle a augmenté très légèrement à 3,7. La France qui se classait en 1999 au 5e rang européen, juste derrière les pays nordiques, retombe ainsi à la 14e place, derrière la Grèce et l'Espagne.
"On n'a pas d'explication claire pour expliquer cette stagnation en termes de structure démographique ou sociale", a déclaré Xavier Niel, le chef de la division Enquêtes et études démographiques de l'Insee, en présentant l'étude à la presse.
Ce chiffre reste toutefois très bas. Au XVIIIe siècle, près d'un nouveau-né sur trois mourait avant d'avoir atteint son premier anniversaire et vers 1850 la mortalité infantile frappait encore un bébé sur six.
La hausse de la mortalité, compensée par les naissances et l'immigration, n'empêche pas l'espérance de vie de croître régulièrement. Elle atteint maintenant 84,5 ans pour les femmes et 77,8 ans pour les hommes en France métropolitaine, soit un gain moyen de deux mois chaque année pour les premières et de trois mois pour les seconds.
"Les hommes ont en 2009 l'espérance de vie que les femmes avaient à la fin des années 1970, et aux âges actifs les inégalités restent plus fortes entre les sexes qu'entre catégories sociales", souligne l'Insee.
Le site Ancestry.fr va ouvrir gratuitement l'accès à ses collections durant le week-end de la Toussaint. Sur simple inscription, les utilisateurs du site auront accès à la quasi totalité du contenu mis en ligne par l'opérateur d'origine américaine. Les collections françaises bien sûr. "Cette opération vise les généalogistes, mais aussi tous ceux qui ne savent pas concrètement de quoi il s'agit lorsqu'on leur parle de généalogie", explique Clotilde de Mersan, directrice du développement. "Dimanche et lundi, ils vont pouvoir accéder à environ 20 millions de documents issus des relevés d'état civil d'une dizaine d'associations de 1500 à 1910. Nous allons également leur montrer des images de registres en ouvrant notre collection concernant Paris et Marseille en provenance d'Arfido et nos collections historiques comme celles des optants d'Alsace-Lorraine ou l'armorial général de France de d'Hozier que nous avons indexé en partenariat avec la BNF", poursuit-elle.
Si les relevés de la quinzaine d'associations proposés par Ancestry.fr offrent un intérêt limité par rapport à d'autres collections déjà présentes sur le Net, l'accès gratuit au fonds Coutot "Paris et ancienne Seine" est en revanche tout à fait exceptionnel. Avec ses 6 millions de fiches contenant plus de 16,5 millions de noms, ce fonds entre en complémentarité avec l'état civil parisien reconstitué et a permis à de nombreux généalogistes de débloquer leurs recherches parisiennes. Il s'agit de copies d'actes de naissance, mariage et décès de 1700 à 1907, de publications de bans de mariage, des listes électorales...
Toutes les bases seront ouvertes gratuitement avec cependant deux exceptions : la base franco-canadienne et celle des émigrés français, notamment les listes de passagers arrivés à destination en Amérique du Nord. L'opération portes ouvertes dure 48 heures : elle commence dimanche matin très tôt à minuit et une minute pour s'achever lundi soir tard à minuit moins une.
Avez-vous un centenaire dans votre généalogie ? D'après l'Insee, les plus de 100 ans n'étaient que 100 en France métropolitaine en 1900 et seulement le double en 1950, mais ils sont aujourd'hui au nombre de 15.000 et pourraient atteindre les 200.000 en 2060. Si vous avez 50 ans aujourd'hui, vous avez une chance sur neuf d'atteindre le siècle si vous êtes une femme et seulement une chance sur 28 si vous êtes un homme.
La France est proportionnellement le pays d'Europe comptant le plus de centenaires. Mais si, progrès de la médecine aidant, leur effectif augmente continûment depuis 1975 au rythme de 8% par an, ils ne représentent que 0,02% de la population.
L'étude de l'Insee montre encore que 86% des centenaires sont des femmes et qu'un sur deux vit à domicile, seules les personnes les plus robustes étant susceptibles de rester chez elles. Ainsi, parmi les femmes âgées de 97 ans qui vivaient seules à domicile en 1999, 54% ont fêté leur 100e anniversaire alors que ce n'est le cas que de 36% de celles qui résidaient en maison de retraite.
En prolongeant les tendances passées de mortalité, l'Insee estime que la France comptera 200.000 centenaires en 2060. "C'est treize fois plus qu'aujourd'hui mais cela ne représentera que 0,3% de la population", souligne l'institut d'études statistiques et économiques qui, dans une autre étude, prévoit 73,6 millions d'habitants en France métropolitaine à cet horizon contre 62 millions aujourd'hui.
Le nombre de centenaires devrait augmenter de 2.000 par an entre 2010 et 2046, à l'exception d'une légère baisse entre 2015 et 2019 correspondant au déficit des naissances de la Première Guerre mondiale. En 2046, avec l'arrivée des générations issues du baby boom, le rythme de croissance s'accélérerait et passerait à +8.000 centenaires par an.
Les plus de 100 ans de 2060 seront un peu plus âgés que ceux d'aujourd'hui : 30% auront 103 ou plus, contre 24% actuellement, et les "supercentenaires" de 110 ans et plus seraient 1.500, contre une dizaine en 2010. De plus, deux centenaires sur dix seraient des hommes, contre un sur dix aujourd'hui.
La publication de l'étude de l'Insee coïncide avec la disparition, dimanche 24 octobre, du doyen des Français, le Guadeloupéen Philibert Parnasse âgé de 109 ans. La doyenne tous sexes confondus reste Eugénie Blanchard, 113 ans, loin toutefois du record mondial de Jeanne Calment, morte en 1997 à 122 ans.
Dans son scénario "haut", autrement dit si les conditions d'espérance de vie sont meilleures que prévu, l'Insee estime que 380.000 centenaires pourraient vivre en France métropolitaine en 2060 (voir schéma). A l'inverse, dans son scénario pessimiste, ils seraient 120.000 si l'espérance de vie augmente moins vite qu'attendu.
Celle-ci atteint aujourd'hui 84,5 ans pour les femmes et 77,8 ans pour les hommes et l'Insee la situe, dans son scénario central, à respectivement 91 et 86 ans en 2060.
Avec le vieillissement de la population, l'Insee escompte que les plus de 60 ans représenteront le tiers de la population à l'horizon de 2060, alors que la part des moins de 20 ans passerait de 25% actuellement à 22% en 2060. "Dès 2014, la proportion de personnes de moins de 20 ans sera inférieure à celle des 60 ans ou plus", pronostique l'institut dans ses dernières projections de population.
Avec tous ces centenaires, l'échelle de temps généalogique est en pleine évolution. Il faudra bientôt systématiquement penser à rechercher les décès de vos aïeux sur une durée de 100 ans ou plus.
Evidemment, personne n'a la réponse à cette question. Mais l'exposition "11 novembre 1920, l'invention du soldat inconnu", organisée sous l'Arc de Triomphe à partir du 16 novembre, permettra d'en savoir plus sur le "pourquoi" et aussi sur le "comment". Après l'Armistice, la France fait ses comptes. Avec 1,4 million d'hommes morts au combat, chaque famille est touchée et pour de nombreuses d'entre elles, la perte de l'être cher se double d'un autre drame : il n'y a pas de corps à enterrer. Les restes des victimes sont soit engloutis dans la boue des champs de bataille, soit impossibles à identifier. Très tôt, dès 1916 nait l'idée de leur rendre hommage en sélectionnant le corps d'un « petit soldat glorieux et anonyme », qui symboliserait tous les autres. En 1920, le premier choix du lieu, le Panthéon, est abandonné au profit du "sommet de l'avenue triomphale, au milieu de ces quatre arches ouvertes sur le ciel", selon l'expression du journaliste Henri de Jouvenel. Ce sera l'Arc de Triomphe.
Le "comment" sera tranché par les députés. On donne l'ordre de prélever dans chacun des neuf secteurs de l'ancien front militaire, un corps dont rien ne pourra indiquer l'identité. Les corps inconnus sont rassemblés à Verdun et le 10 novembre 1920, on choisit le Soldat Inconnu. C'est cette histoire, vieille de 90 ans que raconteront les photographies d'époque rassemblées pour l'occasion. Elles évoqueront également les soldats inconnus des autres nations. L'exposition se tiendra dans la salle des Palmes, dans l'Arc de Triomphe, où le corps du soldat inconnu reposa de novembre 1920 à janvier 1921, avant d'être inhumé sous l'arche.
L'exposition débutera le 16 novembre à l'Arc de Triomphe, et, simultanément, à partir du 6 novembre au Centre mondial de la paix à Verdun.
Mise à jour intéressante sur le site Internet des archives départementales de Seine-et-Marne : vous pouvez désormais y rechercher les listes des registres matricules de vos aïeux. Ces listes nominatives ont été établies à partir de 1867 par les services de recrutement de l'armée et évidemment, elles concernent les hommes uniquement. Pour retrouver une personne, il faut la chercher un peu comme dans un jeu de piste : d'abord identifier le bureau de recrutement (Melun, Coulommiers ou Fontainebleau), ensuite retrouver l'année de classe (généralement la vingtième année de la personne recrutée). Et en face du nom et prénoms de l'intéressé se trouve le numéro de matricule attribué par l'armée.
Muni de ce précieux sésame, il est ensuite possible de retrouver le feuillet matricule de la personne recrutée en cherchant par ordre de numéro. Attention, cette dernière étape ne peut pas se faire sur Internet, seules les listes de noms sont sur le Web et non pas les registres matricules eux mêmes qui ne sont pas numérisés et doivent être consultés dans la salle de lecture des archives départementales. Cela vaut le détour, les informations contenues dans les registres matricules sont des plus intéressantes : caractéristiques physiques, les adresses successives de domicile, le degré d'instruction ou encore des informations médicales. Les listes nominatives mises en ligne commencent en 1867 et sont consultables jusqu’au recrutement de 1914 inclus.
Qu'il soit fréquent ou rare, d'un grand prestige ou difficile à porter, votre nom de famille n'en demeure pas moins l'élément essentiel qui vous relie à vos ancêtres. Mais que signifie-t-il exactement ? Peut-il vous guider vers vos origines familiales ?
Jacques Bodrais, spécialiste des noms de famille pour Genealogie.com, répondra aux questions des internautes, mardi 26 octobre 2010, de 17h à 18h, à l'occasion du chat mensuel, organisé conjointement par La Revue française de Généalogie et Genealogie.com.
Vous pouvez dès à présent lui poser vos questions ou lui soumettre un nom de famille, en vous connectant sur l'espace du "Rendez-vous généalogique" sur le site Internet www.genealogie.com.
Pour en savoir plus, consultez également le numéro spécial de La Revue française de Généalogie "Décodez votre nom de famille", actuellement en kiosque (octobre-novembre 2010). Il détaille les méthodes pour utiliser un patronyme en généalogie et expose de nombreuses particularités régionales et étrangères.
Etonnant raccourci de l'actualité : des bords de la rivière Corrèze jusqu'aux rives baltes de la Lettonie, il n'y a qu'un pas ! En effet, la ville de Brive-la-Gaillarde et la République de Lettonie se trouvent tous deux sous les feux de l'actualité (purement généalogique) pour mettre simultanément à la disposition des internautes leur état civil numérisé. Mais commençons par notre ville corrézienne, peuplée aujourd'hui de 50.000 habitants, dont les archives municipales viennent d'ouvrir un site Web fort bien fait. A déguster au menu généalogique, une belle base de données permettant de visualiser :
Saluons la qualité de l'outil de consultation et de recherche. Nous avons là un mix entre recherche intuitive par thèmes (édifices, lieux, personnes, organismes) et recherche directe pour généalogiste pressé qui sait exactement ce qu'il veut : accéder à tel ou tel registre dont il connaît la date. Le moteur de recherche indexe également une grande partie des fonds, plus de 40 000 articles et références issus des inventaires d'archives, qui sans être numérisés, peuvent être déjà identifiés, localisés et demandés lors d'un prochain passage en Limousin. Une collection de cartes postales antérieures à 1945 vient compléter le tout.
Découvrons ensuite le site des archives lettoniennes, sans doute pour beaucoup d'entre nous pour le folklore, mais peut-être pour certains généalogistes, une chance inespérée de retrouver trace de ses ancêtres sans entreprendre un long et coûteux voyage... C'est le Cercle Généalogique de Languedoc qui a levé le lièvre. L'Etat letton qui rappelons le fait partie de l'Union Européenne, nous propose de consulter en ligne ses livres de l'église évangélique luthérienne, catholique romaine, orthodoxe, baptiste, catholique grecque, vieux-croyants, les congrégations protestantes réformées, l'état civil du rabbinat, la révision des listes Livonie et la Courlande, de matières de Russie Empire de recensement (1897) dans la province de Courlande, Vitebsk et Livonie. Les registres pour certains débutent en 1791 et se terminent en 1905. Deux difficultés viennent corser la recherche : les actes sont écrits naturellement en letton, mais d'une très belle et très lisible écriture, et le site est lui aussi en letton, traduit en anglais, allemand et russe. Mais avec les traductions automatiques trouvée sur le Web (Google traduction, notamment), il suffit d'afficher le texte en anglais, puis de le traduire automatiquement en français !
La ministre de la Santé, Roselyne Bachelot, a présenté ce 20 octobre en conseil des ministres le projet de loi sur la bioéthique, dont la mesure phare concerne la levée sous certaines conditions de l'anonymat des donneurs de gamètes, sperme ou ovocytes.
Le texte qui sera débattu en novembre à l'Assemblée prévoit "l'ouverture d'une possibilité d'accès à l'idendité du donneur (...) pour une meilleure prise en compte de l'intérêt de l'enfant", selon le compte rendu du conseil des ministres.
Quelque 1.300 enfants naissent chaque année en France à la suite d'un don de sperme ou d'ovule.
Le projet de loi, qui n'est pas rétroactif, permettra la levée de l'anonymat lorsque l'enfant majeur en fera la demande et si le donneur y consent. Pour les dons passés, il faudra que le donneur se manifeste de sa propre initiative et déclare qu'il est prêt à révéler son identité si cela est souhaité.
Le texte prévoit aussi l'accès à des données "non identifiantes" du donneur, comme son âge. Mais des informations plus précises, concernant sa motivation ou son milieu socioprofessionnel, ne seront recueillies lors du don que s'il l'accepte. Selon diverses études, les trois quarts des donneurs français refusent de pouvoir être identifiés un jour.
Ce débat pose le problème de la filiation, consubstantiel à la généalogie.
"La filiation est multiple : sociale, affective, charnelle ET biologique", affirme l'association Procréation médicalement anonyme (PMA), en pointe dans ce combat. "L'anonymat des donneurs ajoute à la rupture de la filiation le poids d'un secret".
En cela, son combat rejoint celui des enfants nés sous X qui demandent l'accès à leurs origines. Opposés à la levée de l'anonymat par crainte d'une chute des dons, les Cecos, les centres de conservation des oeufs et du sperme humains, ont pu faire valoir que ces enfants, contrairement à ceux nés sous X, n'ont pas été abandonnés mais au contraire étaient désirés au point que leurs parents aient entrepris une démarche médicale pour les avoir.
Mais l'argument de "l'enfant à tout prix" agace les militants de PMA. "L'homme que je suis ignore une partie de ce qu'il est parce qu'il ignore une partie de ses racines, de son histoire, de ses origines", témoigne un adhérent, Raphaël, sur le site de l'association.
L'ambivalence est là, pourtant. Fanny, 29 ans, se souvient qu'elle commençait à constituer son arbre généalogique lorsque, à 17 ans, elle a appris la vérité sur sa conception. "Du coup j'ai vite arrêté parce que je ne voyais pas l'intérêt de n'en connaître que la moitié", raconte-t-elle. Elle ajoute ensuite : "Je ne veux pas retrouver un 'père' puisque j'en ai déjà un que je ne changerais pour rien au monde, mais je voudrais me reconnaître dans le visage ou le caractère de mon donneur".
La généalogie a cela de bon qu'elle remet les choses en perspective. Combien d'entre nous sommes issus d'un père inconnu, voire d'un abandon pur et simple... Sans parler de toutes les conceptions adultérines qui font que nos arbres ne sont pas tous, loin s'en faut, "biologiques". Qu'en diront dans 100 ou 200 ans les descendants des enfants issus de procréations médicalement assistées ? Voilà de quoi nourrir la réflexion, sans nier les difficultés d'aujourd'hui.
Les archives de l'Etat de Genève sont en ligne et donnent accès à divers fonds numérisés : état civil, cadastre, notariat et une partie des inventaires des fonds conservés. De quoi intéresser les généalogistes, nombreux de chaque côté du lac Léman, à rechercher des ancêtres migrants, aussi bien Suisses venus s'établir en France, que Français venu se réfugier en Suisse, pour des raisons religieuses par exemple, après 1685 et la révocation de l'Edit de Nantes. L'Etat de Genève, ce n'est pas simplement la ville du même nom (deuxième ville de la Confédération), mais aussi un canton composé de 45 communes. Saluons donc la richesse des fonds mis en ligne, tout à fait exceptionnelle, puisqu'on y trouve même des minutes de notaires de différentes époques et différentes communes. Un bémol cependant sur l'affichage des pages des registres.
Pour être franc, il m'a fallu un peu de temps (en fait au moins une heure) pour comprendre comment fonctionnait le système de visualisation qui -avant que j'en comprenne le principe- ne me paraissait pas très au point et indigne de la précision helvétique ! En réalité, nos amis genevois aiment la simplicité et ont regroupé 4 tailles de zoom prédéfinies sous forme de numéro de 1 à 4, si bien qu'un utilisateur un peu pressé prend cette numérotation pour un feuilletage des pages et ne voit s'afficher qu'une misérable petite vignette d'une taille bien trop faible pour pouvoir être lue, même sur un énorme écran. Mais en cliquant sur 2, puis sur 3 ou 4, on obtient un impressionnant zoom sur l'acte qui devient enfin lisible... Décidément original, le site permet également d'afficher deux fois le même registre sur une même page. Mais cette fois-ci, je n'en ai pas encore découvert l'intérêt...
Source : Merci à GeneaBlog pour avoir déniché cette information.
Les commentaires récents