Ce ne sont pas les révélations du Canard Enchaîné, mais celles de la généalogie. L’homme dont on ne cesse de parler, François Pérol, a bien sûr des ancêtres et un arbre généalogique.
Côté Pérol – le nom est évidemment issu d'un des nombreux lieux de ce nom, domaines au sol pierreux –, les racines sont auvergnates : elles conduisent dans le Puy-de-Dôme, à Saint Priest-des-Champs, à mi-chemin entre Clermont-Ferrand et Montluçon. Les ancêtres y sont attestés comme paysans depuis au moins le règne de Louis XIV. Ils ne quitteront le village que vers 1875, avec l’arrière grand-père de François, qui ira s’installer comme coiffeur à Clermont et dont le fils deviendra directeur des Galeries Lafayette de Lyon.
De l'autre côté, on trouvera des ancêtres à Angoulême, avec un Guichard, commerçant en liqueurs. Mais l’essentiel des racines est concentré en région lyonnaise, avec notamment un ancêtre direct, Jacques Joseph Benoît, boulanger à Lyon et guillotiné le 1er mars 1794. Il descendait par les femmes d’une famille Millon, de Brindas. Des Millon qui n’avaient rien à voir avec la banque.
(c) Elysée.
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