Liliane Bettencourt, dont on parle beaucoup actuellement suite à ses prodigalités (lire les derniers échos de l'affaire ici), est comme on le sait la femme la plus riche de France, pour être à la tête de la troisième fortune nationale (selon le magazine Challenges). Une fortune qui dépasse aujourd’hui les 18 milliards d’euros et qu’elle la doit à son père.
Née à Paris en 1922, elle est en effet la fille d’Eugène SCHUELLER, un inventeur de génie qui avait mis au point, en 1907, un produit rajeunissant et absolument révolutionnaire pour l’époque, qui n’était autre qu’une… teinture pour cheveux. Il l’avait appelée Auréole, en référence à l’auréole dorée que l’on avait l’habitude de voir sur la tête des saints, avant de légèrement modifier son nom en L’Oréal. En 1909, il avait donc fondé la Société française de teintures inoffensives pour cheveux, qui devait, trente ans plus tard, prendre le nom de son produit phare, en devenant Société anonyme. Entre temps, Eugène Schueller avait épousé Louise DONCIEUX et avait vu naître leur fille unique, avant de devenir veuf.
Mais qui était –il ? Né à Paris, rue du Cherche-Midi, en 1881, dans l’arrière boutique de la boulangerie-pâtisserie de son père, Charles, un de ces Alsaciens qui avait opté pour la France en 1870, au lendemain de la défaite de Sedan. Il était alors venu à Paris, où il s’était marié, en 1875, avec Amélie Victoire DENISOT, loin de son village natal, Illfurth, au sud de Mulhouse, où il était né en 1848. Charles était le fils d’un cordonnier, Henri Schueller, et de son épouse, Agathe JOHANN.
C’est donc dans ce bourg alsacien que l’on trouve les racines de la femme la plus riche de France, avec les ancêtres Schueller, que l’on peut remonter au Centre départemental d’histoire des familles de Guebwiller jusqu’à Jean Schueller, marié en 1715 à Anne WOLF, et avec, parmi ses quartiers, les patronymes RENCKER, MULLER, ROESLE, BUSER, BRAUN…
Et les Bettencourt ? Liliane Schueller a épousé en 1950 André BETTENCOURT (1919-2007), futur ministre du Général de Gaulle, issu quant à lui d’une famille de l’Oise, où ses ancêtres exerçaient autrefois la profession de batteurs de blé dans la région de Gournay. Cette famille se dit issue du sieur de Béthencourt, chambellan du roi Charles VI et conquérant des îles Canaries, dont il avait été proclamé roi en 1402. Elle serait alors apparentée – de très loin – à celle d’Ingrid Betancourt, qui en descend de façon manifestement plus certaine.
Cela dit, les généalogistes connaissent souvent, sans le savoir, la fille de Liliane Bettencourt-Schueller,Françoise Bettencourt-Meyers, pour avoir lu son livre, paru voilà une dizaine d’années,et consacré à l’étude de la généalogie d’ancêtres très particuliers : les dieux grecs… Par contre, qui aurait des tuyaux sur les Doncieux et les Parisot, ou encore sur les Bettencourt, au-delà de 1850 ?
je trouve cette fille complétement éceurante a lui vomir dessus de vouloir mettre sa mère sous tutelle et aussi lesz personnes qui plleur pour avoir son adresse pour éssayer de lui soutirer de l'argent qulle monde on vie bande d'ipocrite
Rédigé par : dany | 07 décembre 2009 à 22:39
serait il possible d ecrire a liliane betancourt pour affaire personelle. Agriculteur depot de bilan à la rue ....
Rédigé par : gilbert | 07 décembre 2009 à 12:51
Bonjour, quelle stuper, de voir une fille vouloir mettre sa maman sous tutelle, je trouve ça dégeulasse ( désolée du langage ) je suis veuve trois enfts et seule , j'en bave pour les elevers mais j'espère pas qu'un jour un de mes enfts viendront à vouloir me mettre sous tutelle voilà , bonne chance à vous Mme Bettencourt Liliane je vous admire comme femme rester comme vous etes
Rédigé par : isabelle | 02 décembre 2009 à 16:06
s'il vous plais j'ai besoins d'ecrir a madame bettencourt je suis soufran d'une maladie et je suis encor trés jeune il me faut maximum 5000 euro merci d'avance
Rédigé par : said | 10 octobre 2009 à 14:43
bonsoir je suis actuellement a la recherche de certains membre de ma famille depuis un certains temps et je voudrais avoir des contacts de ces personnes ci cela est possible et savoir les liens de parente.je me permet de vous laisser quelques informations sur ma personne:je suis mme BETTENCOURT ANDREE je suis nee le 27011958 fille de pere BETTENCOURT GERARD MARY FELIX et je domiciliee a PARIS etant jeune avec mes parents freres et soeurs et que mon papa est decede depuis qulques temps en vendee merci de me contacter aux coordonnees suivantes.
je domiciliee a PARIS merci de me contacter
Rédigé par : BETTENCOURT ANDREE | 16 septembre 2009 à 18:36
Je voudrais ecrire aussi a Mme Liliane Betancourt, pouvez vous me communiquer ou je pourrais le faire? merci
Rédigé par : brigitte | 10 septembre 2009 à 08:35
Bonjour ,
je voudrais écrire à lilianne Bettancourt
pouvez vous m'aidez à l'écrire ?
Rédigé par : Grégoire Mutshail | 17 juillet 2009 à 11:58
La Cagoule naît de la volonté des responsables du Parti National Révolutionnaire (PNR), fondé en décembre 1935 à la suite d'une scission de l'Action française d'entrer en clandestinité pour échapper à la surveillance de la police consécutive au 6 février 1934. En juin 1936, après la victoire du Front populaire, ces responsables, principalement Jean Filliol et Eugène Deloncle, créent l'OSARN (Organisme Social d'action régulatrice nationale), nom que Eugène Deloncle revendique lors de l'instruction judiciaire en 1937 plutôt que celui de Comité secret d'action révolutionnaire (CSAR) (voir plus haut).
Si l'Action française sait que l'OSAR existe, c'est que la grande majorité des dirigeants de cette nouvelle organisation vient de ses propres rangs ou de son organisation de jeunesse, les Camelots du Roi, tels que :
Eugène Deloncle, l'ingénieur ;
Aristide Corre, l'homme de lettres ;
le duc corse, Joseph Pozzo di Borgo ;
le docteur Henri Martin ;
Jean Filliol dit « le tueur » ;
C'est aussi le cas de Maurice Cochinaire, de Nancy, chef de la Cagoule d'Alsace-Lorraine; il a été trésorier de l'Action française à Nancy en 1924 et responsable des Camelots du Roi pour l'Est jusqu'en 1936[1] .
Mais pour les membres de la Cagoule, lassés de l'attentisme de Pujo et de Maurras, l'heure est venue d'agir. En janvier 1935, Deloncle démissionne et fonde, dans le secret le plus absolu, l'organisme conspirateur.
Ami intime d’Eugène Deloncle, Eugène Schueller, fondateur de la société l'Oréal, met ses moyens personnels à disposition de la Cagoule qui organise des réunions dans son propre bureau du siège de la société.
Des jeunes gens, amis et étudiants pour la plupart, résidant à l’internat des pères maristes (au 104, rue de Vaugirard à Paris), fréquentent alors les chefs de la Cagoule. Sans tous adhérer au mouvement ou faire état publiquement d'une quelconque approbation, il y a parmi cette bande d'amis Pierre Bénouville (issu de l'Action française), Claude Roy, François Mitterrand et André Bettencourt[2].
Le nom de Georges Loustaunau-Lacau, officier de l'armée française et fondateur des réseaux "Corvignoles", apparaît également.
Rédigé par : leo | 16 juillet 2009 à 00:21