Fidèle au poste, comme chaque été, Sandrine Mercier donne la parole à des anonymes qui s’interrogent sur l’histoire de leur famille. En contre-champ, un historien apporte un éclairage pour mieux comprendre les questions de l’invité. C'est ainsi que, dans son émission L’histoire et moi, diffusée tous les samedis de 17 h à 18 h sur France Inter, "d’une histoire simple où chacun se retrouve, on accède à une histoire collective plus palpable, plus concrète, plus vivante", souligne l’animatrice, plutôt fière de "l’éclectisme des histoires singulières".
Suite à la diffusion de l’émission l’an dernier, elle a reçu de nombreux courriers, une brassée de témoignages. Pour compléter, sur des sujets spécifiques, elle part elle-même à la recherche de tranches de vie. C’est ainsi que, pendant dix semaines, l’auditeur découvre deux histoires par émission sur des sujets tels que les chiffonniers du XIXe siècle, une cantinière dans l’armée napoléonienne, l’histoire de la lingerie… "C’est une manière de rendre l’histoire intelligente", savoure l’un d’entre-eux.
Prochain rendez-vous, ce samedi 18 juillet 2009 avec deux histoires : "Revenir d'Auschwitz" (avec Léon Wajsberg et l’historienne Annette Wieviorka) et "Fuir la Corée en 1920" (avec Claude Li et l'historien Alain Delissen).
Des émissions à écouter ou réécouter sur le site Internet de France Inter (cliquez ici).
(c) Radio France / Christophe Abramowitz
Les commentaires récents