Cela commence tout naturellement par une cousinade joyeuse et ensoleillée. Pour illustrer leur reportage sur le "Boum de la généalogie dans le 06" (diffusé sur France 3 Côte d'Azur), Jean-Bernard Vitello et Jean-Christophe Routhier ont filmé le rassemblement de 150 descendants de Jacques Fassi et de son épouse Victoire Pasquier, mariés le 27 septembre 1689 à Roquebillière (06). Tout les éléments traditionnels d'une telle réunion sont présentés : l'arbre généalogie, le folklore (musique et costumes) et la convivialité.
Le journaliste énumère les raisons de l'engouement des Français pour la recherche de leurs ancêtres : savoir d'où l'on vient, à quelle communauté familiale on appartient, percer des secrets de famille, relever les similitudes de vie entre des ancêtres et des contemporains (une pincée de psychogénéalogie n'a jamais fait de mal)...
Ce reportage (d'un peu plus de trois minutes) souligne également le travail titanesque des bénévoles de l'Association généalogique des Alpes-Maritimes qui, comme dans de nombreux cercles en France, photographient les actes d'état civil pour les déchiffrer et mettre en ligne les données. Car, ici comme ailleurs, le Web donne une autre dimension aux recherches généalogiques. Les internautes aux racines locales accèdent, depuis leur ordinateur, à un fonds archivistiques d'une grande valeur, mis en ligne par les Archives départementales : les actes d'état civil du XVIe au XXe siècle, une base documentaire établie à partir du dépouillement des dossiers de naturalisation entre 1880 et 1935, une grande variété d'images et des archives sonores.
Pour regarder le reportage, cliquez ici.
@ Lucie Faivre,
1° vous n’avez pas pris le peine de lire ce qu'il y avait sour mon lien,
2° vous parlez de quelque chose que vous ne connaissez manifestement pas sinon d'une manière livresque !
Facile alors de critiquer sans avoir eu l'occasion de constater IN SITU !
Cependant, de la part des Zététiciens, c’est une habitude du genre « disque rayé » et pure peine perdue !
Par rapport à la positon ( toute dogmatique) qui est de mettre en avant les (exclusifs) critères de l’expérimentation scientifique comme paramètres sine qua non de ce qui est acceptable (aux yeux de la Zététique), voici un texte que je soumets à votre lecture (certes sans me faire aucune illusion) pour couper court à ce que j’attends alors que vous m’opposiez teinté d’un dénigrement qui est certes récurrent de la part de vos pairs, par rapport à ce qui est observé empiriquement :
après avoir examiné plus de 20.000 patients au cours de sa carrière, le Dr Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une approche différente du symptôme de ses patients : pour lui, la plupart des maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée et le simple fait de comprendre ce mécanisme nous permettrait déjà de les éviter. L’expression populaire « s’en rendre malade » trouve dans ce livre sa plus belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les empêcher d’agir sur notre corps. (Sa riche expérience agrémentée de faits précis est relatée dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard").
:
« La recherche médicale conventionnelle ne considère que la matérialité du corps (un assemblage de molécules en perpétuel remaniement) qu’elle observe et qu’elle quantifie grâce à des techniques particulières. Mais il est impossible d’étudier et de quantifier une cohorte de malades ou une série de cas – témoins quand il faut inclure le psychisme humain. La méthodologie est complètement différente. Au cas par cas, il faut écouter le malade pour qu’il confie « ce qu’il n’a jamais dit à personne ».
Cette étude empirique n’en n’est pas moins rigoureusement scientifique. Elle vérifie que la logique (le fondement de la science) est bien respectée : « Si A est vrai, B est faux ». « S’il y a un effet, il y a toujours sa cause, et s’il y a une cause, il y a toujours son effet ». Or actuellement, notre monde a perdu la raison. Nous achetons du gratuit, ce qui par définition ne se s’achète pas. Les scientifiques en sont venus à amalgamer facteur de risque de la maladie et cause de la maladie. Leur recherche échoue puisqu’ils n’ont plus une démarche scientifique. C’est bien ce constat d’échec que faisait Yves Agid. »
http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.168
" Il faut comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique,
est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender
l'aspect touffu, imagé, symbolique de l'expérience vécue."
Michel Maffesoli ("Eloge de la raison sensible" aux Ed. La Table Ronde)
Rédigé par : Baudouin Labrique | 12 octobre 2009 à 15:12
@ Lucie Faivre,
1° vous n’avez pas pris le peine de lire ce qu'il y avait sour mon lien,
2° vous parlez de quelque chose que vous ne connaissez manifestement pas sinon d'une manière livresque !
Facile alors de critiquer sans avoir eu l'occasion de constater IN SITU !
Cependant, de la part des Zététiciens, c’est une habitude du genre « disque rayé » et pure peine perdue !
Par rapport à la positon ( toute dogmatique) qui est de mettre en avant les (exclusifs) critères de l’expérimentation scientifique comme paramètres sine qua non de ce qui est acceptable (aux yeux de la Zététique), voici un texte que je soumets à votre lecture (certes sans me faire aucune illusion) pour couper court à ce que j’attends alors que vous m’opposiez teinté d’un dénigrement qui est certes récurrent de la part de vos pairs, par rapport à ce qui est observé empiriquement :
après avoir examiné plus de 20.000 patients au cours de sa carrière, le Dr Thomas-Lamotte, neurologue français, a développé une approche différente du symptôme de ses patients : pour lui, la plupart des maladies que nous développons ont pour origine une émotion inavouée et le simple fait de comprendre ce mécanisme nous permettrait déjà de les éviter. L’expression populaire « s’en rendre malade » trouve dans ce livre sa plus belle illustration avec les clés pour décoder nos déceptions et comment les empêcher d’agir sur notre corps. (Sa riche expérience agrémentée de faits précis est relatée dans son livre "Et si la maladie n'était pas un hasard").
:
« La recherche médicale conventionnelle ne considère que la matérialité du corps (un assemblage de molécules en perpétuel remaniement) qu’elle observe et qu’elle quantifie grâce à des techniques particulières. Mais il est impossible d’étudier et de quantifier une cohorte de malades ou une série de cas – témoins quand il faut inclure le psychisme humain. La méthodologie est complètement différente. Au cas par cas, il faut écouter le malade pour qu’il confie « ce qu’il n’a jamais dit à personne ».
Cette étude empirique n’en n’est pas moins rigoureusement scientifique. Elle vérifie que la logique (le fondement de la science) est bien respectée : « Si A est vrai, B est faux ». « S’il y a un effet, il y a toujours sa cause, et s’il y a une cause, il y a toujours son effet ». Or actuellement, notre monde a perdu la raison. Nous achetons du gratuit, ce qui par définition ne se s’achète pas. Les scientifiques en sont venus à amalgamer facteur de risque de la maladie et cause de la maladie. Leur recherche échoue puisqu’ils n’ont plus une démarche scientifique. C’est bien ce constat d’échec que faisait Yves Agid. »
http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.168
" Il faut comprendre que le rationalisme, en sa prétention scientifique,
est particulièrement inapte à saisir, voire même à appréhender
l'aspect touffu, imagé, symbolique de l'expérience vécue."
Michel Maffesoli ("Eloge de la raison sensible" aux Ed. La Table Ronde)
Rédigé par : Baudouin Labrique | 12 octobre 2009 à 14:58
@Lucie Faivre : ce n'est pas parce qu’il y a (comme dans tout domaine et même la médecine conventionnelle d’ailleurs) des gens qui dérapent et autres charlatans qu’il faille passer à la trappe la psychogénéalogie !
C’est réducteur et typique des Zététiciens qui ont une endémique compulsion à rejeter tout ce qui n’est pas (dogmatiquement) admis par la frange rationaliste et matérialiste de la science !
Vous savez sans doute pas que c’est le Pr Anne Ancelyn Schutzenberger qui a crée et enseigné la psychogénéalogie à l’Université de Lyon, début des années 1980. La psychogénéalogie est donc une branche universitaire, ne vous en déplaise !
Par rapport à la manière d’utiliser la psychogénéalogie qui n’est pas une approche thérapeutique en tant que telle mais un simple outil, voici comment il est utilisé d’une manière appropriée, ce qui n’entraîne alors aucun dommage pour ceux qui en bénéficient
Cf. http://www.psychogenealogie.eu/
Rédigé par : Baudouin Labrique | 12 octobre 2009 à 11:18
Vous écrivez dans ce billet : "une pincée de psychogénéalogie n'a jamais fait de mal".
En êtes vous bien sûr ? avez-vous lu les critiques de la psychogénéalogie ?
je trouve dommage de mélanger la généalogie à cette pseudo-thérapie qui peut s'avérer dangereuse...
Voir par exemple les dossiers de l'observatoire zététique :
http://www.zetetique.fr/index.php/dossiers/54-psychogenealogie-aieux
Rédigé par : Lucie Faivre | 11 octobre 2009 à 14:45