La télévision d'Angers (Angers7) diffuse ces quelques minutes de vidéo pour présenter le portail des archives départementales de Maine-et-Loire. A écouter et voir, une interview d'Elisabeth Verry, la directrice du service.
Les archives départementales s'enrichissent (Angers)
par ANGERS7
Les basses températures incitent au cocooning et à la recherche généalogique à domicile. Les chiffres des consultations des archives en ligne le confirment (par exemple dans le Maine-et-Loire ou plus récemment à Paris). Pour vous faciliter la tâche, nous avons recensé et créer un lien vers les 53 services d'archives départementales qui proposent à ce jour leur état civil en ligne. Pour y accéder, rien de plus simple : cliquez sur la carte dans la colonne de gauche pour sélectionnez le département désiré. Vous y êtes.
Le plus de cette page est de recenser également les 74 communes qui offrent une mise en ligne de leur état civil. Retrouvez-les, classées par département, dans le menu déroulant, sous la carte. Cliquez et vous y êtes.
En 2010, d'autres services d'archives viendront compléter cette liste bien utile. Les archives de la Meuse, de l'Aisne ou encore des Vosges sont déjà candidates : leur mise en ligne devrait intervenir dans les prochains jours ou prochaines semaines. Alors, n'hésitez pas à y revenir régulièrement et à inscrire cette carte dans vos favoris !
La version 3 du site Bigenet est en ligne depuis ce matin. Il s'agit non pas d'une mise à jour de ce portail payant, mais d'une refonte technique totale. Pour mémoire, Bigenet est la base de données informatisée de la Fédération française de Généalogie. On y trouve les relevés d'état civil effectués par les bénévoles de 44 associations réparties sur la France entière. A ce jour, elle recense un total de 29,5 millions d'actes dépouillés. La probabilité d'y trouver votre nom de famille est assez forte.
La société Triatel a entièrement revu sa mouture pour aboutir à une version au look rénové, "un aspect plus au goût du jour, plus épuré et surtout plus simple d'utilisation", explique son dirigeant Frédéric Günst-Horn. Et ce n'est pas simplement la carrosserie qui a été revue, mais toute l'architecture interne, le moteur été changé, livrant une puissance de recherche accrue. "Les requêtes aboutissent en un temps record, les temps d'exécution ont été divisés par 10, voire par 50 dans certains cas", affirme t-il.
Le portail permet désormais une recherche approchée phonétique (il rapproche les Morichon, Moricheau, Morichaud, etc.), une recherche avancée par type d'acte, par département ou région, par fourchette de date et même par couple, en reliant les enfants possibles, y compris ceux nés dans un autre département.
Rappel, Bigenet est un portail à moitié payant (ou à moitié gratuit, comme on veut). Les résultats d'une requête sont présentés gratuitement, mais tronqués. Par exemple un mariage est décrit sans sa filiation, mais avec les noms complets des mariés, la date et le département du mariage. Pour accéder aux résultats complets avec notamment le lieu exact et la filiation exhaustive, il faut alors acheter un forfait (20 euros minimum) et débourser 2 euros par acte.
Spécialiste des médailles et décorations de l'Ancien Régime à nos jours, Jean-Pierre Mir répond en direct aux questions des internautes ce mardi 12 janvier 2010, de 17h à 18h, sur le chat mensuel organisé par Genealogie.com et La Revue française de Généalogie.
Ce collectionneur passionné est l'auteur de nombreux ouvrages sur le sujet et a largement collaboré au numéro spécial de La Revue française de Généalogie qui passe en revue les cent principales décorations, descriptions détaillées et photographies à l'appui.
Vous pouvez dès à présent poser vos questions à Jean-Pierre Mir, en vous connectant sur l'espace du "Rendez-vous généalogique" sur www.genealogie.com
Pas question pour une entreprise, aussi importante et prestigieuse soit elle, de porter le nom du plus célèbre ingénieur français du XIXe et du XXe siècle : Gustave Eiffel. Le journal Sud-Ouest nous apprend que les descendants de Gustave, réunis en association, viennent de faire interdire le port du patronyme de leur aïeul par la Compagnie française Eiffel construction métallique (son site est carrément : www.eiffel.fr), filiale du groupe Eiffage, numéro trois français du bâtiment et des travaux publics, qui se présente comme héritière des activités d'Eiffel.
Le comble est que c'est cette société elle même qui avait assigné l'un des descendants, Philippe Coupérie-Eiffel, pour lui interdire d'utiliser des marques comprenant le nom d'Eiffel et concernant des activités totalement étrangères au bâtiment et aux travaux publics.
Dans son jugement rendu cette semaine, le tribunal de Grande Instance de Bordeaux a tenu compte d'un document exceptionnel datant de 1893 produit par les héritiers d'Eiffel : l'ingénieur qui était alors président de la compagnie qu'il avait fondée annonçait son retrait total comme actionnaire et demandait expressément que son nom disparaisse de la désignation de la société. 107 ans plus tard, sa volonté est exaucée... grâce aux vieux papiers !
Né à Tunis en 1943, Philippe Séguin était le fils de Robert Séguin, décédé en septembre 1944 (alors que l'homme politique n’avait qu’un an et demi), et de Denyse Daniele, institutrice, qui se remariera et rentrera en France, pour vivre à Draguignan où Philippe fera ses études.
Son grand-père, Maurice Séguin, avait épousé à Tébourba, en 1919, Simone Auboire, une jeune fille originaire du Bourbonnais (née à Hérisson, dans l’Allier, et issue d’une famille ayant pour berceau la commune de Chappes, où les ancêtres étaient laboureurs et taillandiers au XVIIe siècle).
Mais les Séguin, qui semblent s’être établis en Tunisie avec l’arrière grand-père de Philippe, étaient quant à eux originaires de Gascogne, où toutes leurs racines étaient concentrées à 100 % dans le Médoc.
L’arrière grand-père, Pierre Séguin, était né en 1857 dans la commune de à Ludon-Médoc, à une quinzaine de kilomètres de Bordeaux et actuellement considérée comme faisant partie de sa grande aire urbaine. Une commune vouée autrefois à la culture du blé et bien sûr à celle de la vigne et où les ancêtres des Séguin avaient tour à tour exercé les métiers de bouviers, de laboureurs et de vignerons. Ils s’y étaient établis en 1726, année où y a été célébré le mariage d’Arnaud Séguin avec… Jeanne Séguin. Un mariage très probablement contracté entre cousins, puisque les deux époux étaient natifs du village limitrophe de Macau, où le père de la mariée était charpentier de haute-futaie – il faisait de la charpente et des mats pour bateaux – et où celui du marié, Jean Séguin (né vers 1647 et plus ancien ancêtre connu à ce jour) était laboureur et vigneron.
L’arrière grand-mère, Jeanne Bracassac était issue quant à elle d’une famille originaire d’Avensan, toujours en Médoc, avec pour berceau la commune de Listrac, un peu plus au Nord, où l’on peut remonter dans son arbre généalogique jusqu’à un Jean Braquessac, successivement laboureur et tailleur, né vers 1655.
L'actualité généalogique arrive sur Twitter. La vie des associations, des centres d'archives, des familles (plus ou moins célèbres), des sites Internet et des acteurs de la généalogie avait déjà toute sa place dans La Revue française de Généalogie, qui a fêté ses trente printemps. Depuis deux ans et demi, elle se décline dans une version quotidienne avec GénéInfos, le blog du magazine (que vous êtes de plus en plus nombreux à fréquenter : l'audience a plus que doublé depuis septembre 2009).
Et ce n'est pas fini ! GénéInfos pointe le bout de son nez sur Twitter. Popularisé par les hommes et femmes politiques - on pense notamment outre-Atlantique à la campagne de Barack Obama, ce service s'installe dans l'Hexagone, depuis peu avec une version française. Questions, informations, réflexions et rendez-vous se chevauchent en quelques mots : pas plus de 140 caractères par message... pour écrire l'essentiel. Juste de quoi faire référence à un intéressant article de presse fraichement publié, proposer un lien vers une note qui mérite d'être lue, évoquer un évènement ou une anecdote locale ou tout simplement donner un scoop avant qu'il ne soit développé sur le blog de la RFG.
Comment profiter de ces brèves ? Un pavé ad doc a trouvé sa place en haut à droite du blog. Vous pouvez aussi vous connecter directement au compte : http://twitter.com/geneinfos. Pour être sûr de ne louper aucune information, vous pouvez vous abonner (la création de votre propre compte est nécessaire) ou intégrer le flux RSS à votre agrégateur : http://twitter.com/statuses/user_timeline/95617150.rss
Et cette nouveauté annonce d'autres bonnes nouvelles. La Revue française de Généalogie prépare une version enrichie et relookée de son site Internet, annoncée pour dans quelques semaines...
Le Service Historique de la Défense vient de mettre en ligne le catalogue de sa bibliothèque, fort de près de 200.000 références. Les connaisseurs apprécieront de pouvoir prendre connaissance de l'existence de :
Dans les prochains mois, le catalogue va s'enrichir de nombreuses références complémentaires relatives aux ouvrages détenus par les bibliothèques de Brest, Cherbourg, Vincennes, Lorient, Rochefort et Toulon. Il y aura également les fichiers papier de la bibliothèque de l'armée de terre, le catalogue de la bibliothèque du Dépôt de la guerre et le fonds allemand.
Avec cette politique de mise en ligne des catalogues, le SHD montre une voie intéressante, celle de porter à la connaissance du public l'existence d'ouvrages rares, parfois de simples notes manuscrites. Une fois l'ouvrage repéré, les chercheurs n'ont qu'à se déplacer pour aller le consulter (ou demander à une personne aimable de le faire pour eux). Face à la politique prônée notamment par Google qui affirme que tout est numérisable, cette démarche prend clairement conscience des limites de la numérisation. Et de l'attente des chercheurs.
Accès direct au catalogue : c'est ici.
Comme l'annonçait Généinfos début novembre, le portail de la ville d'Angoulême permet désormais de consulter l'état civil ancien de cette ville. Mais ce n'est pas visible au premier coup d'oeil, car la page d'accueil du site des archives de la ville présente toujours la mise en ligne comme un projet, alors que les registres paroissiaux de 1572 à 1792 de 14 paroisses sont bel et bien consultables. Suivez le guide : sur la page d'accueil des archives d'Angoulême, allez dans l'onglet Fonds numérisés situé en haut de la page juste à côté du titre. Une fois sur cette page, cliquez dans la colonne de gauche en dessous de Les fonds d'archives sur Registres numérisés. C'est seulement ici qu'apparaît la liste des 14 paroisses dont vous pouvez consulter les actes. Suivent 3 tables de registres concernant les paroisses Saint-André (1604-1676), Saint-Antonin (1581-1792) et Saint-Martial (1600-1789).
Les registres d’état civil jusqu’en 1900 sont en cours de numérisation et devraient suivre peu après. Rappelons que le département de la Charente ne propose pas encore de registres d'état civil sur Internet, ce qui donne un relief particulier à cette mise en ligne des archives de la ville d'Angoulême. En complément, vous pouvez consulter deux portails complémentaires toujours proposés par cette dynamique ville sur les thèmes de l'histoire locale et l'architecture & urbanisme.
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