GénéInfos

L'histoire et moi (France Inter) : un programme éclectique

Sandrine Mercier croise tous les samedis sur France Inter (de 17h à 18h) le témoignage d'un anonyme à la recherche de repères sur une histoire familiale et le regard d'un spécialiste sur une période ou un fait historique. Une façon originale d'aborder le passé des contemporains (lire notre note à ce sujet ici). Savourez d'avance un programme bien éclectique :

• Samedi 25 juillet : "prisonniers de guerre allemand en France" (avec Michel Odesser et l'historien Fabien Theofilakis) et "l'exil d'un russe blanc" (avec Clément Doubrov et l'historienne Catherine Gousseff).

• Samedi 1er août : "itinéraire de deux juifs autrichiens dans l’Europe nazie" (avec René Eksl et l’historienne Barbara Lambauer) et "les maisons suédoises en Normandie" (avec Luc Dodeman et l’historienne Daniele Voldman)

• Samedi 8 août : "histoire des chiffonniers" (avec Hakim et l’historien Manuel Charpy) et "les femmes dans les armées napoléoniennes" (avec Stéphane et Gil Mihaely)

• Samedi 15 août : "engagé dans la Waffen SS" (avec Jean-Marie Huet et l’historien Jean-Luc Leuleu) et "fille-mère ou célibataire ? Histoire du célibat" (avec Anne Sophie et l’historienne Anne-Marie Sohn)

Le futur portail des Archives Nationales

Le Figaro lève un coin de voile sur le futur portail Internet des Archives Nationales. Dans un article publié le 22 juillet, le quotidien annonce pour 2013 la mise en ligne de 7 millions de documents numériques, accompagnée de l'ouverture d'une véritable «salle des inventaires virtuelle». Ceux qui ont l'habitude de fréquenter le CARAN (Centre d’accueil et de recherche des Archives nationales) comprendront vite l'intérêt d'une telle annonce. Avant de pouvoir consulter les documents recherchés, il faut vérifier s'ils existent, et les localiser en notant leur cote, afin de pouvoir ensuite les commander en salle de lecture. Certes, l'actuel site des Archives Nationales comprend bien quelques instruments de recherche, il ne donne accès qu'à une partie des descriptifs et une infime partie des inventaires. Créer une salle virtuelle pour les inventaires, cela veut dire que le contenu entier de la salle du premier étage va être numérisé et indexé. Pour mémoire, cette salle mesure dans les 200 m2 et contient des milliers d'ouvrages, y compris les inventaires relatifs à chacun des départements français ! Pour être bien clair, la démarche consiste à numériser l'ensemble des inventaires, c'est-à-dire les descriptifs, codes et informations sur les documents, et à numériser également certains documents originaux, mais pas tous, ce serait mission impossible. Devraient ainsi passer sous le scanner, les archives les plus précieuses, comme par exemple les papyrus mérovingiens du VIIe siècle, les archives les plus fragiles (par exemple les notes du gouvernement de Vichy dont l'encre pâlit d'année en année) et aussi les archives les plus demandées comme les dossiers de la Légion d'Honneur. Rappelons qu'il existe une possibilité très méconnue de consulter quelques documents numérisés issus des Archives Nationales, notamment des répertoires et quelques dossiers de notaires du minutier Central. Il s'agit de l'interface de test sous Pleade, réservée aux bons connaisseurs de ce genre de système et à laquelle le grand public ne comprend rien. Mais cela montre une chose : la numérisation aux Archives Nationales est bel et bien lancée.

Les enfants adoptés de Marie-Antoinette

Mes lectures d’été m’ont fait découvrir une page d’histoire assez étonnante et quasiment inconnue, que j’évoque ici en pensant que les généalogistes pourront peut-être aider l’historien. L’histoire est très simple. Je l’ai moi-même découverte en lisant un récent numéro du précieux Intermédiaire des Chercheurs et Curieux (673-674, de janvier-février 2009).
1776. Mariée depuis six ans, Marie-Antoinette, se languit de ne pas avoir d’enfants – Mme Royale ne naîtra qu’en 1778 – et cherche à en avoir autour d’elle. Au cours d’une promenade, son carrosse renverse, à Bougival (78), un petit garçon, Louis-Michel Gagné. L’enfant, fils de vignerons et orphelin, est élévé par sa grand-mère, avec ses deux frères et sa soeur. La reine, profondément émue, n’a pas grand mal à convaincre la vieille de lui confier toute la fratrie. Elle prend alors Louis-Michel avec elle à Versailles, le rebaptise Armand et ne cessera pas de le faire traiter comme un prince, l’enfant prenant même ses repas à la table des souverains. Malheureusement, celui-ci épousera – sans doute par lâcheté – les idées républicaines, deviendra un vrai terroriste et tombera finalement à la bataille de Jemmapes.
Mais les protections et subventions royales ont également profité à ses frères et sœurs : l’un des frères d’Armand était devenu violoncelliste du roi ; l’article signale que le contrat de mariage de leur sœur, Marie-Madeleine Gagné, daté de 1794, fait état d’un apport de "3 000 livres, provenant des bénéfices donnés par la défunte veuve Capet".

D’où ma question : Marie-Madeleine a-t-elle laissé une descendance et celle-ci a-t-elle profité des libéralités royales ? Ni cet article, ni un site dédié à Marie-Antoinette (citons ici celui de l'Association Marie-Antoinette : www.marie-antoinette-association.com) ne donne malheureusement ni le nom de l’époux, ni les coordonnées du mariage ou du contrat, qui semble pourtant avoir été retrouvé par les historiens ayant approché cette question. Mes recherches pour le retrouver ont été vaines… Quelqu’un saurait-il trouver un fil conducteur ?

GeneaNet sur le point d'être racheté par Uni-Editions

Le site GeneaNet est en passe d'être racheté par Uni-Editions, une filiale du Crédit Agricole, après plusieurs semaines de négociations, annonce la lettre d'information spécialisée Presse-News. Acteur incontournable de la généalogie en France, GeneaNet a été fondé en 1996. Depuis sa transformation en société commerciale en 2000, le portail généalogique appartenait en majorité entre autres actionnaires, à la famille de l'un de ses co-fondateurs, Jacques Le Marois. Ce rachat signe pour Uni-Editions une opportunité de se déployer dans l'Internet familial grand public. Cette filiale de presse du groupe Crédit Agricole édite en effet six magazines pratiques "papier" dont Santé Magazine (4,3 millions de lecteurs), le mensuel Dossier familial (1,2 million d'abonnés) ou encore Détours en France (76.000 exemplaires). Avec un chiffre d'affaires de 77 millions d'euros en 2008, Uni-Editions est le 5e groupe de presse français.

Mise à jour du 25 juillet 2009 : Cette information a été vérifiée auprès de la direction de GeneaNet qui l'a confirmée.

Guillaume de Morant

Pétition pour les Archives de France

Une pétition circule pour sauver le poste de directeur des Archives de France, à l'initiative de l'Association des archivistes français. Nous avons déjà évoqué ce projet de suppression de poste qui inquiète beaucoup les archivistes et a même provoqué une manifestation devant le portail des Archives Nationales à Paris en mars dernier. Cette fois-ci, c'est la prestigieuse Association des archivistes français (AAF) (1) qui lève la pancarte et dénonce avec la disparition de la Direction des archives de France, "la destruction d'un outil indispensable à la démocratie". Dans un communiqué de presse, l'AAF déplore cette réorganisation et la méthode utilisée, "diluer la Direction des archives de France dans une « Direction générale des patrimoines de France », sous couvert de la révision générale des politiques publiques (RGPP)". Les archivistes redoutent la baisse des effectifs et une remise en cause à moyen terme de la visibilité de la fonction Archives, voire son existence même. Et rappellent un rôle souvent oublié des Archives avec un grand A : constituer un outil de l'exercice de la démocratie. En effet, la conservation d'un dossier n'est jamais anodine et obéit à des règles actives et volontaires, dans une transparence administrative souhaitable, de manière à permettre à chacun de connaître les raisons qui ont poussé à conserver ou non telle ou telle archive. Pour l'AAF, c'est cette organisation archivistique élaborée qui est menacée si l'on affaiblit l'autorité placée à la tête des Archives. Un autre argument est employé par l'association et ne manque pas de toucher les généalogistes : si le poste de Directeur des Archives de France disparaissait, n'aurait-on pas à craindre d'autres menaces comme la baisse des moyens avec les conséquences que l'on imagine : suppression massives d'archives, disparition du conseil et de l'aide scientifique aux lecteurs, horaires d'ouverture à la baisse, disparition de services départementaux au profit de services régionaux, etc... En ces temps d'incertitudes, les imaginations ont vite fait d'échafauder tous les scénarios ! Et le nouveau ministre de la Culture Frédéric Mitterrand a jusqu'ici soigneusement évité le sujet.

(1) L'AAF a été fondée en 1904, elle regroupe plus de 1200 adhérents soit une large majorité des responsables et des professionnels des services d’archives publics et privés.

RFG : sortie du numéro d'août-septembre

C'est la bonne nouvelle de la semaine, que vous soyez encore au boulot, déjà reposé après des vacances bien méritées ou encore à vous dorer sur la plage : le numéro 183 de La Revue Française de Généalogie est paru ! Attention, il sort tout juste des presses de notre imprimeur. Laissez lui le temps d'arriver chez nos abonnés, à partir d'aujourd'hui et de se mettre en place dans les kiosques à compter du 29 de ce mois ! En attendant de déguster cette nouvelle mouture, voici un avant-goût de ce numéro daté d'août-septembre 2009.

Au sommaire :

Le Magazine

• Histoire et monographies : Le village, une autre dimension de la généalogie • Patrimoine de proximité : La fondation des ponts et lavoirs • L’aventure généalogique : Albert Pigasse démasqué • Vos ancêtres & l’histoire : La Volonté de Dieu en commun. 

Cybergénéalogie

• Dossier : Numériser, et après ? • Visite guidée : Google, mode d’emploi • Rechercher sur… Les ancêtres juifs à l’étranger • Lu Vu Entendu : toute l’actualité multimédia et les nouvelles archives en ligne.

Méthodes & ressources

• Presse ancienne : Trouver un ancêtre dans le journal • Le cours de Jean-Louis Beaucarnot : Apprendre à chercher (Spécial débutant – 1re partie) • Paléographie par Gabriel Audisio : Comptes de confrères • Médailles & décorations par Jean-Pierre Mir : Les médailles de l’Aéronautique • Portrait de Christian Ferru : L’homme des cousinades • Vie des cercles : L’escapade généalogique à Saint-Quentin.

Sans oublier

• Les noms de famille : Ami, Aurivel, Avezard, Ballan, Barbier, Blanchard, Bourserie, Chotard, Ciceri, Dauvin, Depontaillier, Douveneau, Feniès, Fenouil, Folliasson, Forquignon, Frerejouan, Galopin, Gancet, Grappin, Hovine, Marseille, Moret, Mounier, Mossière, Ott, Patrat, Piza, Ponchin, Poughon, Rigolet… sans oublier l’Europe des Marteau • L’entraide gratuite entre généalogistes • Les actualités

Les racines tarnaises de Matthieu Pigasse, nouveau propriétaire des Inrocks

Le banquier d'affaires Matthieu Pigasse devient le propriétaire des Inrockuptibles (plus communément appelés Les Inrocks), le titre de référence dans ce domaine (lire son interview dans l'édition du lundi 20 juillet du Figaro). Ce fan de rock n'est pas le premier de sa famille à investir dans la presse, comme le souligne Stéphane Cosson dans le prochain numéro de La Revue française de Généalogie :

Son frère Nicolas Pigasse est co-fondateur du magazine people Public en 2003. Sa sœur aînée, Virginie Pigasse, animait une émission de la radio libre Carbone 14, avant de travailler chez Globe. L’oncle de Mathieu, Jean-Paul Pigasse, a été nommé directeur de la rédaction de L’Express, en 1985 par Jimmy Goldsmith.

Le généalogiste professionnel a retrouvé la trace des ancêtres d'Albert Pigasse, créateur de la collection à succès du Masque, qui fait le bonheur des amateurs de romans policiers, d'aventure et de comédie noire, avec plus de 2.500 titres parus depuis 1927. Cet homme est le grand-père grand-oncle de Matthieu Pigasse, fils de Jean-Daniel et petit-fils de Jules Pigasse qui a eu seize enfants (deux avec sa première femme Elisabeth Delourme et quatorze avec sa seconde femme Marcelle Descous). Tous plongent leurs racines dans le Tarn au 17^e siècle :

Tous les Pigasse de France sont issus d’une seule commune : Rabastens, dans le Tarn, où se situe le lieu-dit Les Pigasses, paroisse Notre-Dame du Bourg. Nous en trouvons aussi dans la commune proche de Lisle-sur-Tarn au lieu-dit Les Pigassous, paroisse Saint-Gérard d’Armissard. Si l’on recense dès 1614 des Pigasse dans les registres paroissiaux de Notre-Dame du Bourg et de ses églises annexes (Cordeliers, couvent Saint François, Saint Michel, Notre-Dame du château, Pénitents blancs), il est difficile de remonter au-delà de François Pigasse, premier ancêtre connu de l’éditeur. Cet homme, marchand de profession, est marié à Honorée de Villeneuve, vraisemblablement noble car qualifiée de "Demoiselle" et apparentée à la famille de Villeneuve que l’on trouve notamment dans la région de Lavaur.

Retrouvez l'essentiel de l'ascendance de Matthieu et Albert Pigasse dans le numéro daté août-septembre de La Revue française de Généalogie (avec un complément d'information dans le numéro suivant).

L'histoire et moi de retour sur France Inter

Fidèle au poste, comme chaque été, Sandrine Mercier donne la parole à des anonymes qui s’interrogent sur l’histoire de leur famille. En contre-champ, un historien apporte un éclairage pour mieux comprendre les questions de l’invité. C'est ainsi que, dans son émission L’histoire et moi, diffusée tous les samedis de 17 h à 18 h sur France Inter, "d’une histoire simple où chacun se retrouve, on accède à une histoire collective plus palpable, plus concrète, plus vivante", souligne l’animatrice, plutôt fière de "l’éclectisme des histoires singulières".

Suite à la diffusion de l’émission l’an dernier, elle a reçu de nombreux courriers, une brassée de témoignages. Pour compléter, sur des sujets spécifiques, elle part elle-même à la recherche de tranches de vie. C’est ainsi que, pendant dix semaines, l’auditeur découvre deux histoires par émission sur des sujets tels que les chiffonniers du XIXe siècle, une cantinière dans l’armée napoléonienne, l’histoire de la lingerie… "C’est une manière de rendre l’histoire intelligente", savoure l’un d’entre-eux.

Prochain rendez-vous, ce samedi 18 juillet 2009 avec deux histoires : "Revenir d'Auschwitz" (avec Léon Wajsberg et l’historienne Annette Wieviorka) et "Fuir la Corée en 1920" (avec Claude Li et l'historien Alain Delissen).

Des émissions à écouter ou réécouter sur le site Internet de France Inter (cliquez ici).

(c) Radio France / Christophe Abramowitz

AD du Rhône : le Mémorial de la Shoah numérise

La Journée nationale dédiée à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et d’hommage aux Justes de France a lieu ce dimanche 19 juillet. C'est l'occasion de rappeler qu'une importante opération de numérisation est en cours aux Archives départementales du Rhône. Elle concerne l'ensemble des documents conservés par les AD portant sur le sort des Juifs, des Tsiganes et autres groupes de victimes en France et dans le Rhône. Il s'agit d'archives relatives à l'immigration pendant les années 1930-40, notamment les 63.892 dossiers individuels du service du contrôle des étrangers de la Préfecture pour la période 1930-1945.
Ces dossiers comportent les demandes de cartes de séjour, de cartes d’identité et d'expulsions. Ils sont généralement constitués de notes de la préfecture, de fiches avec photographies de délivrance de carte de séjour, de récépissés de demandes de cartes d’identité avec photographies, de passeports, cartes de travail, rapports et/ou notes de police, procès-verbaux de police et/ou gendarmerie, etc. Sur place, la recherche dans ces dossiers est aisée, grâce à l’existence d’une base de données nominative. Elle est cependant restreinte par le délai de communication de 50 ans à compter de leur clôture (sauf ayants-droits).
La numérisation des dossiers, estimée à un million de vues permettra aux chercheurs et aux familles de documenter plus facilement les destins. Elle est en cours, opérée par le Centre de Documentation juive contemporaine du Mémorial de la Shoah, en vertu d'une convention de partenariat signée le 12 décembre dernier avec le département du Rhône.
Si vous résidez dans le secteur de diffusion de France 3 Rhône-Alpes, vous pourrez visualiser à partir de ce soir 16 juillet dans le journal de 19 heures, quatre reportages sur des personnes victimes d’actes antisémites, dont les destins ont pu être retracés grâce aux Fonds des Archives départementales du Rhône. Ensuite, les reportages seront à disposition en podcast sur le site de la station régionale et également sur le site du projet Exil Ordinaire de l'association d'histoire Dorot. Pour toute recherche généalogique dans le Rhône, rappelons que de nombreuses communes de ce département dont Lyon ont mis en ligne leur état civil ancien, en attendant le site des archives départementales. Les liens sont ici sur notre carte de l'état civil en ligne.

Comment lire les écritures anciennes

Le guide de paléographie de Roland de Tarragon est réédité aux éditions Mémoire et Documents. L’auteur a effectué une mise à jour de la version publiée en 2005 (avec le chapitre Enchaînements sur des lettres scindées au départ se liant les unes après les autres pour former des mots et petites phrases). Son approche est originale puisque l’on se trouve devant un dictionnaire, avec plus de 7500 fichiers images avec la traduction en marge.

Dans son introduction, l’auteur nous décrit son livre et la façon de l’utiliser. Un premier chapitre aborde la forme de chaque lettre, avec les différentes figurations pour chacune d'elles. C'est un chapitre essentiel afin de reconnaître au moins les deux premières lettres du mot sur lequel on bute ; ainsi l’on pourra se reporter au dictionnaire.
Ensuite un chapitre est consacré aux syllabes et éléments de mots (toujours sur le même principe). Suivent un chapitre sur les particularités, un sur les abréviations et formes spéciales, un autre sur les abréviations courantes. Enfin vient le dictionnaire des mots et phrases que l’on peut rencontrer à la lecture des textes anciens. Une masse d’exemples et d’images impressionnante !

Un guide vraiment riche et très exhaustif, puisque figure également une liste des prénoms. Le plus complet dans les formes présentées et traduites. Un petit bémol néanmoins : il n’y a qu’un seul texte traduit en exemple (un acte notarié du XVI^e siècle). Il aurait été mieux, mais il aurait fallu sans doute un second tome, de présenter plus de textes afin d’avoir une vision et une compréhension globale (approche effectué par d’autres guides). Un ouvrage à avoir tout de même dans sa bibliothèque.

Lire les écritures anciennes du XV^ème au XVIII^ème siècle de Roland de Tarragon, Mémoire et Documents, 59 euros.