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France 2 : La passion des Français pour l'histoire

France 2 en est persuadé :"les Français se passionnent pour l'histoire et veulent regarder leur passé en face". Suffisamment pour consacrer le numéro de "Complément d'enquête", ce lundi 22 juin 2009 (à partir de 22h10), à "l'histoire, la nouvelle passion des Français". Pour étayer cette idée, le magazine, présenté par Benoît Duquesne, s'arrête sur quatre périodes ou évènements, qui suscitent parfois la polémique : les archives confisquées par les Allemands en juin 1940, les fausses fosses communes de la guerre civile espagnole, Auschwitz en ruine, la bataille d'Alésia.

• Les archives secrètes de la guerre oubliée
  Paris, juin 1940 : les Allemands s’emparent de millions de documents confidentiels dans les ministères. Ces archives oubliées sont aujourd’hui en cours de classement dans les sous-sols du fort de Vincennes, à l’abri des regards. Carnets de guerre, rapports d’états-majors, lettres de soldats, quelles révélations ces archives secrètes cachent-elles ?

• A la recherche des corps perdus
  Familles, associations, archéologues amateurs : 70 ans après la fin de la guerre civile espagnole, ils cherchent les fausses fosses communes. Sur 500 000 morts, combien de milliers de corps restent encore à identifier ? Pourquoi ce passé qui refait surface passionne et dérange tout un pays ? Est-ce que les espagnols peuvent-ils se réconcilier sur leur histoire ?

• Auschwitz, une mémoire qui s’efface
  Auschwitz tombe en ruine sous le poids des années. Comment sauvegarder les fours crématoires qui s’effondrent ? Les cheveux, les chaussures qui tombent en poussière ? Faut-il limiter le tourisme de la mémoire, sur un site qui accueille 1,2 millions de visiteurs par an ?

• Alesia jacta est !
  Où s’est déroulée la bataille d’Alésia, en 52 avant J.-C. ? 2000 plus tard, les spécialistes s’écharpent toujours sur cette énigme. S’agit-il d’Alise-Sainte-Reine, en Bourgogne, où l’Etat et le département vont construire un musée à 50 millions d’euros ? Ou bien de Chaux-des-Crotenay, une colline du Jura aux ruines mystérieuses ? Pourquoi l’administration refuse-t-elle obstinément depuis 40 ans de fouiller ce site ?

Une émission à revoir sur le site Internet de l'info en vidéo de France Télévisions (cliquez ici).

Petites nouvelles (généalogiques) de Google

Deux informations concernant "notre ami" Google sont susceptibles de nous intéresser. Car Google est partout, y compris dans des champs relatifs à la généalogie. La première concerne Google Books, un service peu connu, aussi appelé Google Recherche de livres. Véritable bibliothèque numérique, Google Books permet de consulter des ouvrages anciens, tombés en principe dans le domaine privé. Cette appréciation laisse cours à un volumineux contentieux, mais nous concerne de loin, les livres consultés par les généalogistes étant plutôt anciens, voire très anciens, et leurs auteurs étant généralement décédés depuis plus de 70 ans. Les améliorations proposées portent sur 5 points visant à rendre plus performants la recherche, l’ergonomie et la diffusion des livres déjà contenus dans la bibliothèque personnelle de l'utilisateur. On peut par exemple accéder directement à un chapitre précis de l'ouvrage, effectuer un lien vers celui-ci ou intégrer à son site un mini-lecteur affichant le contenu des ouvrages sélectionnés.
L'autre information "généalogique" de Google concerne la société 23andme, spécialisée dans la recherche ADN. En quoi est-ce généalogique et en quoi est-ce lié à Google ? 23andme propose contre une goutte de salive, d'étudier vos prédispositions aux maladies génétiques et, chemin faisant, puisque votre ADN est passé sous la loupe, de retracer vos origines génétiques les plus anciennes. Cette forme d'étude généalogique, bien qu'illégale en France, se développe doucement dans notre pays. Le lien avec Google ? La société 23andme a été cofondée par la biologiste Anne Wojcicki, biologiste, épouse de Sergey Brin, lui-même co-fondateur de Google. Pour être sûr de ne rien rater de ses futures maladies et de ses anciennes origines, Sergey vient de remettre 2,6 millions de dollars dans la société de sa femme...

La carte des AD devient aussi celle des communes !

Du nouveau sur Généinfos : la carte des AD en ligne devient la carte des AD et des communes en ligne. Toujours accessible depuis la colonne de gauche de votre fil d'infos généalogiques préféré ou directement en cliquant ici, cette fameuse carte s'est enrichie d'une discrète mais efficace fonctionnalité : son menu déroulant pointe désormais aussi vers 67 sites de communes disposant de registres d'état civil en ligne...

Radio : la deuxième semaine de la minute généalogique

Cette semaine encore, une trentaine de radios poursuivent la diffusion d'un petit programme quotidien intitulée "Mon histoire, ma famille... la minute-info de généalogie", réalisé par Seprem Productions et financé par Ancestry (plus d'infos dans la note du 12 juin 2009).

On retrouve le psychanalyste Serge Hefez et Carène Rabilloud, historienne et généalogiste, qui donnent conseils et éclairages aux auditeurs curieux de leurs ancêtres. Pour compléter le tableau, Clotilde de Mersan, directrice du développement d'Ancestry, apporte son expertise sur la contribution de la numérisation des archives à la généalogie.

Pour ceux à qui cela aurait échappé, voici un bref panorama des chroniques diffusées cette deuxième semaine :

• lundi 15 juin : "Age ou orthographe des noms : ce qu’il faut savoir" avec Carène Rabilloud (cliquez ici) ;

• mardi 16 juin : "Ils font des recherches généalogiques sur Internet et ça leur plaît !", avec le témoignage de trois généalogistes (cliquez ici) ;

• mercredi 17 juin : "La numérisation des données : une chance pour la généalogie et pour l’histoire", avec Clotilde de Mersan (cliquez ici) ;

• jeudi 18 juin : "Transmettre son histoire familiale à ses enfants", avec Serge Hefez (cliquez ici) ;

• vendredi 19 juin : "Le passé recomposé : que nous apprend le passé ?", avec Carène Rabilloud (cliquez ici).

L'état civil de la Roche-sur-Yon indexé et en ligne !

Si l'on devait décerner le prix du meilleur site d'état civil en ligne, la médaille d'or du contenu irait certainement aux archives municipales de la Roche-sur-Yon en Vendée. Les actes de naissances, de mariages et de décès de l’an V à 1907 sont non seulement sur Internet, mais ils sont aussi indexés ! Si vous ne savez pas ce que cela signifie, vous allez vite comprendre. Vous tapez le patronyme recherché dans la petite case du moteur de recherche et le site vous donne la liste de tous les porteurs du nom nés, mariés ou décédés dans cette bonne ville, et ce, depuis le Premier Empire ! On pourrait presque croire qu'il est désormais inutile de perdre son temps à feuilleter les registres, puisque le site vous donne immédiatement la réponse. Ce travail d'indexation est exceptionnel, cela représente 55.000 actes d'état-civil, soit plus de 60.000 patronymes consultables gratuitement sur le Web des archives municipales. 

Voilà donc pour le contenu. Sur la forme, en revanche, l'enthousiasme est fortement tempéré par les limites d'interrogation du site. Car hélas, les archives de la Roche-sur-Yon ne permettent pas d'accéder aux registres autrement qu'avec recherche par le nom. Autrement dit, pas question de feuilleter le registre en cherchant un acte dont on ne connaîtrait ni l'orthographe du nom, ni la date exacte. Le site en perd une grande partie de son intérêt et de sa complémentarité avec le Web des archives départementales de la Vendée. Le département propose en effet en ligne la collection du greffe de cette même ville de la Roche-sur-Yon. Dommage de ne pas pouvoir comparer les deux collections en cas de lacune ou d'incident technique sur l'une ou l'autre. Prenons l'exemple de Benjamin Rabier. L'illustrateur rendu célèbre pour son dessin de La Vache-qui-rit est né à La Roche-sur-Yon, le 31 décembre 1864. Pas de problème pour le retrouver, l'acte nous permet d'apprendre que Benjamin Amand est né rue du Change, fils d'un menuisier lui aussi prénommé Benjamin. L'indexation a bien fonctionné. Comparons en quelques clics, son acte avec son double présent sur le site des AD85. Ils sont similaires comme le montre cette illustration.

 Mais parfois, la comparaison révèle des différences notables, des noms de témoins ont pu disparaître sur le double, des lacunes peuvent exister dans l'une ou l'autre collection. Prenons un autre exemple. Parmi les célébrités nées au chef-lieu de la Vendée, il y a le peintre et poète Raoul Ponchon. Impossible de trouver son acte de naissance sur le site des archives municipales. Tapez Ponchon dans la case recherche et rien n'apparaît. Se cacher ressemblerait bien à notre poète, habile à fuir les honneurs : "Je suis un poète de troisième rang, je ne puis admettre que l’on me mette au premier"... Malgré sa modestie, il y est certainement, mais l'indexation ne s'est pas faite. Pour en avoir le cœur net, allons sur le site des AD85. Ici, pas d'indexation réalisée sur ce registre, mais en tournant les pages de l'année 1848, il ne fait aucun doute que le numéro 224, né le 30 décembre est bien notre Raoul Ponchon. Cela démontre tout l'intérêt de pouvoir feuilleter les pages d'un registre numérisé. Dommage que cela ne soit pas possible sur le site des archives municipales...

Signalons que sont actuellement disponibles sur le site des archives de La Roche-sur-Yon, les 141 plans cadastraux et leurs registres d'état de section. Et avant la fin de l'année 2009, la base de données sera enrichie avec les actes des anciennes communes annexées (Le Bourg-sous la Roche, Château Fromage et Saint-André-d’Ornay).

Etat civil en ligne : les débuts prudents de l'Ille-et-Vilaine

Vu du côté des généalogistes, les choses ne vont jamais assez vite. Mais si l'on se place du côté des services d'archives, mieux vaut se hâter lentement. C'est en tous cas la position des AD d'Ille-et-Vilaine qui vont proposer d'ici quelques heures ou quelques jours proposent depuis quelques heures, un accès par Internet à leur état civil ancien. Un premier lot d'environ 300.000 images (lot n°1 pour 38 communes) va en effet être consultable sous peu. Et vu l'originalité de la démarche, mieux vaut en effet s'entourer de toutes les précautions nécessaires avant d'appuyer sur le bouton de démarrage.

Originale, la démarche l'est à plus d'un titre. Les AD 35 ont tout d'abord mené ce projet en étroit partenariat avec deux associations : le Cercle généalogique d'Ille-et-Vilaine et le Cercle du Pays de Fougère. En vertu d'une convention signée en 2004, ces deux associations ont numérisé (et numérisent toujours) les actes anciens tirés des registres paroissiaux et de l'état civil. Ce sont donc des généalogistes bénévoles qui, registre après registre ont "mis en boîte" les précieux actes des paroisses et de l'état civil post-révolutionnaire. Le petit plus, c'est que les images sont en couleur ; le gros plus, c'est que les bénévoles se sont attaqués aux deux collections complètes, celle du double du greffe et celle des communes.

Ensuite, le Conseil général d'Ille-et-Vilaine dont dépendent les Archives départementales, a voulu maîtriser toute la partie technique. La solution informatique choisie est Thot, connue notamment pour équiper les archives de la ville de Saint-Etienne et celles de la Haute-Garonne. Thot est intéressant, car il permet à la fois de gérer le visible et l'invisible, la partie d'administration du site et la partie affichage des millions d'images. Hélas, Thot est très original et s'il donne toute satisfaction à Saint-Etienne, l'interface toulousaine ne manque pas de surprendre : pour consulter un acte, il faut télécharger toute la paroisse en fichier PDF ! De quoi se poser des questions sur l'utilisation de ce type d'outil à l'échelle d'un département et espérer que les choix de l'Ille-et-Vilaine seront différents... Une chose cependant est sûre, le système marche, puisqu'il est proposé depuis quelques semaines en salle de lecture, en complément des microfilms.

Enfin, le Conseil général d'Ille-et-Vilaine a tenu à héberger lui même les serveurs dédiés aux images de l'état civil ancien. L'expérience montre qu'à l'ouverture de ce genre de service, les serveurs d'un département sont rarement dimensionnés pour faire face à l'afflux des demandes. Là encore, tout est prévu : les premières semaines, il n'y aura pas plus de 50 internautes connectés simultanément, ce qui devrait permettre aux premiers arrivés de consulter tranquillement leurs actes et aux autres de rechercher le moment adéquat pour se connecter...

Question calendrier, les archives ne veulent pas fixer de dates précises (ce sera en ligne quand ce sera en ligne...), mais le lot n°1 doit être en place avant l'été, le second après l'été et le troisième avant la fin de l'année. Le deuxième tiers des communes suivra au même rythme en 2010, puis le dernier tiers en 2011 pour former un total de 2,6 millions d'images en ligne. Pour compléter l'état civil (et le cadastre et les plans de l'intendance déjà en ligne), les AD35 étudient le lancement sur le Web des cartes postales et documents figurés, les recensements et le recrutement militaire. Mais pour cela, aucun calendrier n'a encore été fixé.

La Mayenne et la Saône-et-Loire complètent leurs archives en ligne

Fin mai, nous vous indiquions une série de mise à jour d'archives en ligne (des fonds assez divers à découvrir ici), avec notamment la collection complémentaire des registres d'état civil du Var, ouvrant les recherches jusqu'en 1902 (1912 pour Toulon). Les Archives du Maine-et-Loire avaient opéré une démarche similaire à la mi-février.

En ce mois de juin, c'est au tour de leurs voisins de la Mayenne (découvrez sa salle de lecture virtuelle ici) de mettre à la disposition des internautes les actes jusqu'en... 1882, au lieu de 1866 (date initiale, fixée au lancement du projet en 2003). Et pourquoi s'arrêter à cette date ? "Les autres registres ne sont pas encore sur les serveurs. L'hébergement coûte cher", souligne tout simplement Joël Surcouf, directeur des archives mayennaises. Par contre, les exemplaires couvrant la période jusqu'en 1902 sont consultables, sur écran, en salle de lecture à Laval. Profitez des vacances pour y faire un saut !

La Saône-et-Loire complète également ses séries en ligne, avec les registres du recensement de population de 1836 à 1901 et un inventaire du patrimoine, composé de dossiers et de photographies des édifices et objets remarquables du département, réalisé par Raymond et Anne-Marie Oursel.

Retrouvez l'ensemble des archives départementales en ligne sur notre carte de France et leurs dates de fermeture estivale (sur la note publiée le 31 mais 2009).

Généalogiste professionnel : l'art de bien démarrer dans le métier

Un généalogiste professionnel démarre son activité dans l'Ariège. Philippe Français profite du nouveau dispositif d'auto-entrepreneur pour se lancer dans l'aventure, avec sa femme.

Son interview, publiée dans La Dépêche il y a une semaine, donne un parfait éclairage sur la manière, pour un passionné de généalogie, d'envisager un tel métier. Pour créer sa société Ariège généalogie, Philippe Français s'appuie sur dix années d'expérience, à la recherche de ses propres racines familiales. Il propose une palette d'activités : bien sûr, mener des travaux pour des particuliers sur l'Ariège et 42 autres départements, mais également assurer des formations "de trois niveaux différents" et apporter "un plus par rapport à la difficulté de lecture".

Dans un premier temps, il souhaite conserver son autre emploi, à temps partiel (80 %), histoire de se constituer une base de clientèle. "La demande est dure à cibler car tous les clients sont des particuliers. Il est certain que j'ai tout un travail de contacts à réaliser avec des associations, commerces et hôtels", avoue-t-il.

Stéphane Cosson en est également conscient. Généalogiste familial depuis près de dix ans, ce Tarnais alimente régulièrement la blogosphère de son analyse sur le métier, à partir de ses  expériences heureuses et malheureuses. Dans une note publiée ce week-end, il réagit à l'interview :

Je me demande si parfois certains réalisent des études de marché avant de se lancer. Vouloir devenir généalogiste professionnel, c'est bien. Mais quand même, pas n'importe comment et pas à n'importe quel prix. Il me semble que cela doit se réfléchir un minimum. [...]
Comme cela a priori, il n'est pas dans la réalité de la profession. Il propose 42 départements en plus de l'Ariège où il habite, des formations, en statut d'auto-entrepreneur, avec seulement 20% de son temps puisqu'il garde son travail à côté à 80%. Même si sa femme l'aide à temps plein, ce n'est pas réaliste pour moi. [...] Pour moi, il ne vise pas le bon public en visant les étudiants, les hôtels et les commerces. Le public du généalogiste professionnel n'est  pas là. Ce ne sont pas eux qui commandent. Même s'il semble réaliser qu'on y vient sur le tard. Le public généalogiste est un public de seniors presque exclusivement. En tout cas ceux qui me commandent.

Alors peut-on transformer une passion en une activité professionnelle ? Philippe Français est-il parti sur de bonnes bases ? Souhaitons lui de répondre positivement à cette double question.

(c) Photo DDM / La Dépêche

Radio : écoutez la minute de généalogie

Depuis une semaine, une trentaine de stations de radio diffusent une pastille quotidienne intitulée "Mon histoire, ma famille... la minute-info de généalogie". Réalisée par Seprem Productions, cette série de quinze modules (programmée jusqu'au 26 juin) est fournie gratuitement aux diffuseurs qui le souhaitent, grâce au concours financier d'Ancestry.

A l'actif de cette société, on retrouve des thèmes aussi variés que le tabac, l'impôt sur le revenu, les sondages, les métiers et la recherche d'emploi... Pour parler de généalogie, sous un angle grand public, elle a fait appel au psychanalyste Serge Hefez (découvrez son blog ici) et à Carène Rabilloud, historienne et généalogiste.

Pour ceux à qui cela aurait échappé, voici un bref panorama des chroniques diffusées cette semaine :

• Lundi 8 juin : L’engouement pour la généalogie, avec Serge Hefez (cliquez ici) ;

• Mardi 8 juin  : Pourquoi démarrer votre généalogie ?, avec Carène Rabilloud (cliquez ici) ;

• Mercredi 9 juin : Quelques conseils pour démarrer votre généalogie, avec Carène Rabilloud (cliquez ici) ;

• Jeudi 10 juin : Le mode d’emploi d’un arbre généalogique, avec Carène Rabilloud (cliquez ici) ;

• Vendredi 11 juin : Zoom sur les documents historiques, avec Carène Rabilloud (cliquez ici).

Qu'en pensez-vous ?

Comment débuter et organiser une généalogie ?

Marie-Odile Mergnac est la prochaine invitée du chat mensuel, organisé conjointement par La Revue française de Généalogie et Genealogie.com. A la fois éditrice pour Archives & Culture et auteur de nombreux ouvrages et articles généalogiques et historiques... cette femme aux multiples casquettes témoignera de son expérience et répondra à vos questions en direct, ce mardi 16 juin 2009 de 17h à 18h sur la meilleure façon de "débuter et organiser une généalogie".

Vous pouvez dès à présent poser vos questions à Marie-Odile Mergnac, en vous connectant sur l'espace du "Rendez-vous généalogique" sur le site Internet www.genealogie.com.